de retour

Me voici revenue en hiver ou presque après une semaine de météo estivale. Comme prévu, la cure de télé à bien eu lieu, et malgré les horaires très décallés pour cause de compétition j'ai pu flâner au marché aux puces et visiter les expositions du musée dauphinois.

J'ai également eu le loisir de m'exaspérer parce que les nouvelles consignes de sécurité empêchaient les parents des coureurs du National Piste des Jeunes de se garer sur le parking réservé aux coureurs, ce qui imposait de tourner dans le quartier pour finalement se garer n'importe où au risque de la contravention et bien sûr de porter tout le matériel (vélo, roues, pompe, sac,...) sur une distance plus longue et aléatoire (enfin, ça, c'était pour les parents de base, j'ai quand même vu un monsieur qui a réussi à force d'agressivité et de hurlements à faire venir le responsable de la sécurité pour avoir des badges d'accès sous prétexte que sa fille était championne de France, j'aurais du faire pareil sans doute, après tout il y avait le vainqueur de l'édition 2005  catégorie cadet dans ma voiture, mais je dois être trop respectueuse des lois ). Idem pour ranger le matériel après les courses, toute sortie du palais des sports était définitive parait-il (je ne dois vraiment pas avoir la tête d'un directeur sportif même amateur, sourire, parce que lorsqu'on avait la tête de l'emploi, on pouvait revenir, j'ai pu le constater en discutant avec des "collègues" qui eux, étaient du bon sexe. Quelle idée vraiment d'être une femme quand on accompagne un cycliste, on perd immédiatement toute crédibilité).

Mis à part ces menus détails, le spectacle était au rendez-vous, tant pour le sport que pour les animations, notamment avec ces jeunes filles et surtout un jongleur époustouflant qu'on ne se lassait pas de voir et de revoir, soir après soir .

Le plus beau de tous était quand même ce jeune homme là, si cher à mon coeur (et ce ne sont pas certaines jeunes filles qui me contrediront, sourire) qui s'est revêtu d'or dans sa catégorie dès le premier soir et qui a gardé son maillot jaune soir après soir jusqu'à la fin.