Grâce à une amie...

... qui avait besoin d'une accompagnatrice, j'ai retrouvé hier pour une journée ma vie "d'avant" : les escaliers, les couloirs, les salles de classe... et le stress d'une journée de spectacle (grandiose, au théâtre de la ville, un projet qui a tenu en haleine les 14 classes de cette école pendant toute l'année scolaire) de fin d'année scolaire : ultimes réglages au théâtre le matin, spectacle l'après-midi, puis à nouveau le soir.

Résultats, sourire : 1. je ne regrette absolument pas ma vie d'avant, même si c'était rigolo de retrouver cette ambiance dans laquelle j'avais baigné depuis ma naissance (eh oui, sourire, mon papa était enseignant aussi), 2. je n'ai évidemment pas avancé ce M (oui, sourire, c'est un M à la rose, vous êtes très fortes, je vous félicite) autant que je le voulais, la preuve, j'ai juste réussi à broder un petit bout en haut à gauche en rentrant :

Lakevio, des E, j'en ai des modèles de  toutes sortes, des simples, des ornés avec des fleurs ou des feuillages divers,... d'ailleurs je vais prochainement broder celui de l'alphabet sajou et je m'en réjouis, j'adore cet alphabet.

Ervalena, sourire, tu as parfaitement raison : je suis moi-même impressionnée par le nombre d'échevettes de fil que "j'extermine", et,  n'utilisant que très rarement le dé, (parce que j'ai réussi à trouer celui que ma maman avait eu lorsqu'elle était jeune fille et qu'elle m'avait offert lorsque j'ai commencé à broder) et que depuis, je n'en ai pas retrouvé d'aussi "confortable", j'ai le majeur de la main droite plein de trous, sans compter qu'il m'arrive parfois d'être maladroite et de confondre le tissu avec les doigts de ma main gauche, sourire. Mais tout cela n'est rien par rapport au plaisir de voir naître les lettres au fil des jours, plaisir dont décidément, je ne me lasse pas.

Comments

[clau]

moi, je ne m'en lasse pas non plus mais tu dois être comme un aspirateur avec tes échevettes...bz bz

[Babette]

& moi , je ne me lasse pas de tes avancées journalières . C'en est un vrai plaisir . Bises . Babette

[Marie]

Je pensais que seule ma maladresse était responsable des trous que je fais dans mon index gauche, mais je vois que même toi tu ne te prives pas de ce plaisir. Désormais lorsque je me piquerai ce sera avec un sourire complice.

[françoise]

Quelquefois aussi, je suis sollicitée par mes anciennes collègues pour les sorties où comme en ce moment couper, coudre les costumes du spectacle de fin d'année.
bonne journée en compagnie du M à la rose